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Sciences de la santé; Sciences sociales et humaines; Sciences sociales : intervention; Sciences infirmières; Sciences humaines; Sciences médicales; Sciences sociales

Réseau québécois sur le suicide, les troubles de l'humeur et les troubles associés

Autre structure de recherche affiliée
Autres numéros : 514 761-6131 #6194 (Information) 514 762-3023 (Télécopieur)
Autre courriel : info@reseausuicide.qc.ca (Autre courriel)

Médias

Toxicomanie et comportement suicidaire - Quoi de neuf chercheurs?

Didier Jutras-Aswad, chercheur au RQSHA et professeur à l'Université de Montréal, discute des résultats de ses recherches.

Portrait

À propos

De 2009 à 2013, le Réseau québecois de recherche sur le suicide nouvellement créé a pu accroître significativement le nombre et la variété des chercheurs s’intéressant à la problématique du suicide et soutenir la productivité de ses membres. Si les réussites dans l’atteinte de ses objectifs initiaux sont indéniables, plusieurs défis demeurent à relever.

Outre la consolidation des réalisations dans le recrutement de chercheurs-cliniciens et le développement de plateformes de bases de données, le Réseau entend maintenant élargir son champ d’action et d’investigation des phénotypes, des maladies et des problèmes étroitement reliés au suicide et aux comportements suicidaires.

Pour ce faire, le Réseau a débuté la période 2013-2017 en accueillant plusieurs nouveaux membres possédant une expertise reconnue dans les domaines des troubles de l’humeur et des toxicomanies, en concluant d’importants partenariats à l’échelle provinciale et en rendant compte de cette expansion en adoptant un nouveau nom. Le RQRS est ainsi devenu le Réseau québécois sur le suicide, les troubles de l’humeur et les troubles associés (RQSHA).

Affiliations

Unités de recherche

  • Réseau de recherche en interventions en sciences infirmières du Québec

Établissements universitaires

  • Université McGill/McGill University

Organismes partenaires

  • CIUSSS de l'Ouest-de-l'Île-de-Montréal - Institut universitaire en santé mentale Douglas

Adresses

6875, boul. LaSalle, local F-3145
Verdun (Québec), H4H 1R3, Canada

Pour en savoir plus…

Équipe

Responsables

À l’Université de Montréal

Externes

Membres

À l’Université de Montréal

Expertise

Description de l’expertise

Mission

  •  Promouvoir la recherche pour la prévention du suicide au Québec.

Objectifs

  • Promouvoir les recherches épigénétiques ayant pour but d’identifier les mécanismes de réponse aux facteurs de stress environnementaux augmentant le risque de suicide;
  • Développer et bonifier le rayonnement de la Banque de cerveaux du Québec sur le suicide, une ressource unique fournissant des tissus cérébraux aux communautés scientifiques québécoise, canadienne et internationale;
  • Promouvoir et développer la recherche sur la plasticité cérébrale reflétant une réponse biologique aux stress environnementaux;
  • Soutenir la recherche sur les facteurs développementaux associés au suicide;
  • Promouvoir les études translationnelles pour valider et appliquer les résultats de la recherche aux populations cliniques jeunes et adultes à risque de suicide;
  • Favoriser la recherche et les interventions sur le suicide chez les Autochtones du Québec;
  • Créer une plateforme de services sociaux et de santé pour l’identification de meilleurs traitements, de meilleurs programmes et de meilleures stratégies populationnelles en santé mentale répondant aux besoins liés à la prévention du suicide;
  • Promouvoir et faciliter la formation de résidents en psychiatrie et autres professionnels des services sociaux et de la santé afin de développer une cohorte de cliniciens-chercheurs dans le domaine du suicide;
  • Développer un programme structuré d’activités de transfert de connaissances vers les partenaires et autres intervenants du domaine de la santé mentale.

Axes de recherche

Recherche clinique et traitements novateurs

Les études en milieux cliniques sont essentielles à la validation externe des résultats obtenus en laboratoire ou par des études épidémiologiques. À cet égard, notre Réseau entend développer des recherches cliniques et translationnelles sur les comportements suicidaires, les troubles de l’humeur et les comorbidités de dépendances respectant les plus hautes normes méthodologiques, favoriser la formation de chercheurs-cliniciens et soutenir directement l’intégration de la recherche dans les activités de plateformes cliniques québécoises pertinentes.

Responsables : François Lespérance

Neurobiologie des troubles de l’humeur, du suicide et comorbidités

Ces dernières décennies, des progrès significatifs ont été réalisés dans notre compréhension des dimensions neurobiologiques de l’humeur et de ses caractéristiques d’anormalité. De même, nous avons appris beaucoup sur les fondements biologiques de la suicidalité et sa diathèse.

En outre, au cours des années récentes, nous avons commencé à saisir comment les expériences vécues influent de façon importante sur le cerveau et déclenchent des processus moléculaires régulateur de l’activité du génome. L’ensemble de ces processus, que l’on qualifie d’épigénétiques, ont permis un nouveau dialogue entre chercheurs de diverses disciplines et donné lieu à un modèle conceptuel permettant d’aborder l’interaction de l’environnement et du génome.

Responsables : Linda Booij

Dimension psychosociale, éthique et santé autochtone

L’objet d’étude central de notre Réseau, à savoir les comportements suicidaires, les troubles de l’humeur et leurs interactions avec les troubles associés, dont l’abus de substances, n’affectent pas les Québécois également. De plus, compte tenu du caractère novateur, donc inédit, des recherches menées par les membres du Réseau, des questions d’éthique et des questionnements sociétaux ne manquent pas de se poser. Le regroupement Dimension psychosociale, éthique et santé des autochtones concentrera ses activités et réflexions sur ces questions, notamment dans une perspective transculturelle.

Responsables : Éric Racine

Adversité précoce, régulation émotionnelle-comportementale et psychopathologie

De pénibles expériences de vie durant les premiers stades de développement d’une personne, les abus sexuels et physiques autant que les carences émotionnelles, sont parmi les plus forts prédicteurs de pathologies psychiatriques ultérieures, tout particulièrement de dépression, d’abus de substances et de suicide. Ces facteurs influencent aussi l’évolution clinique, le déclenchement précoce de la maladie, la mauvaise réponse au traitement, une forte comorbidité et un recours chronique aux services de santé.

Projets et financement

Financement

  • Fonds de recherche Santé - Québec
  • Fonds de recherche Société et culture - Québec

Publications et communications

Publications

Disciplines

  • Psychiatrie
  • Psychologie
  • Neurologie
  • Neurosciences
  • Service social et travail social
  • Sciences cliniques
  • Médecine communautaire
  • Médecine générale
  • Médecine préventive
  • Sciences infirmières
  • Épidémiologie et biostatistique

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