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Sciences sociales et humaines; Aménagement; Environnement et développement durable; Sciences naturelles et génie; Sciences de l’administration et de la gestion; Technologies de l’information et des communications; Sciences appliquées

Centre de recherche sur les innovations sociales

Autre structure de recherche affiliée
École de travail social
HEC Montréal Université de Montréal
Autres numéros : 514 987-3000 #4458 (Information) 514 987-6913 (Télécopieur)
Autre courriel : crises@uqam.ca (Autre courriel)

Médias

Colloque international du CRISES 2017 - Mot d'ouverture

Mot d'ouverture de Juan-Luis Klein, directeur du CRISES lors du Colloque international du CRISES - 5e édition "Des émergences à la reconnaissance. Trajectoires d’innovation" - Montréal, 6 et 7 avril 2017

Sortir de l’Entreprise-monde par les communs, Yves-Marie Abraham, Professeur HEC Montréal

Grande Conférence de clôture "Sortir de l’Entreprise-monde par les communs", Yves-Marie Abraham, Professeur en sociologie de l’économie à HEC Montréal, dans le cadre du 19e colloque annuel des étudiants de cycles supérieurs du CRISES, Université de Sherbrooke et Saint-Camille, 22 au 23 mars 2018

Portrait

À propos

Le Centre de recherche sur les innovations sociales (CRISES) est un centre institutionnel qui relève de la Faculté des sciences humaines (FSH) et de l'École des sciences de la gestion (ESG) de l'UQAM.

Organisation interuniversitaire et pluridisciplinaire, elle regroupe 48 chercheurs membres réguliers provenant de 10 institutions, soit l’Université du Québec à Montréal (UQAM), l’Université du Québec en Outaouais (UQO), l’Université Laval, l'Université de Sherbrooke, l’Université ConcordiaHEC Montréal, l'Université de Montréal, l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC), l'Université du Québec à Rimouski (UQAR) et la TÉLUQ (l’Université à distance de l’Université du Québec). De plus, le Centre compte une trentaine de membres associés provenant des universités déjà mentionnées, auxquelles il faut ajouter l’Université Laurentienne (Sudbury), l'Université d'Ottawa, l’Université de MonctonAgrocampus Ouest (Angers, France).

Créé en 1986 par Benoît Lévesque et Paul R. Bélanger, le CRISES est depuis 2001 un regroupement stratégique du Fonds de recherche du Québec sur la société et la culture (FRQ-SC). Il a été sous la direction de Denis Harrisson de 2003 à 2009 puis de Juan-Luis Klein. Le directeur actuel est Sylvain A. Lefèvre.

Affiliations

Établissements universitaires

  • École nationale d’administration publique
  • Université Concordia/Concordia University
  • Université d’Ottawa/University of Ottawa
  • Université de Sherbrooke
  • Université du Québec - Télé-université
  • Université du Québec à Chicoutimi
  • Université du Québec à Rimouski
  • Université du Québec en Outaouais
  • Université Laurentienne/Laurentian University
  • Université Laval
  • Université de Moncton
  • Université du Québec à Montréal (UQAM)
  • Institut national supérieur des sciences agronomiques, agroalimentaires, horticoles et du paysage (AGROCAMPUS OUEST)

Adresses

C.P. 8888 Succursale Centre-ville
Montréal (Québec), H3C 3P8, Canada
1290, rue Saint-Denis, local 10è étage
Montréal (Québec), H3C 3P8, Canada

Pour en savoir plus…

Équipe

Responsables

À l’Université de Montréal

Externes

Membres

À l’Université de Montréal

Christian Jetté (Membre)
Yanick Noiseux (Membre)

Expertise

Description de l’expertise

Le Centre de recherche sur les innovations sociales (CRISES) est une organisation interuniversitaire et pluridisciplinaire qui regroupe une soixantaine de chercheurs affiliés principalement à huit institutions, soit l’Université du Québec à Montréal (UQAM), l’Université du Québec en Outaouais (UQO), l’Université Laval, l'Université de Sherbrooke, l’Université Concordia, l’École des hautes études commerciales de Montréal (HEC Montréal), l'Université de Montréal et l’Université du Québec à Chicoutimi.

De formations disciplinaires diversifiées (anthropologie, géographie, histoire, mathématiques, philosophie, relations industrielles, sciences de la gestion, science économique, science politique, sociologie et travail social), les membres du CRISES étudient et analysent les innovations et les transformations sociales à partir de trois axes complémentaires : le développement et le territoire, les conditions de vie et le travail et l’emploi.

Plusieurs de ces travaux de recherche sont réalisés en partenariat avec des acteurs socio-économiques. Les membres du CRISES sont au centre d’activités de réseautage avec la société civile et contribuent activement à des activités de transfert de connaissances vers la communauté.

Axes de recherche

Innovations sociales et transformations dans le territoire et les collectivités locales

Les projets qui se regroupent dans cet axe analysent les innovations sociales dans la perspective du rapport des collectivités au territoire, ce qui les amène à privilégier l’intersectorialité et à examiner l’effet des diverses formes de proximité (physique et relationnelle) sur la structuration et les nouvelles dynamiques des collectivités territoriales. Ces dynamiques sont observées à travers des processus jalonnés par des conflits et des compromis, lesquels peuvent être menés de façon inclusive, en mettant en place des modalités de gouvernance territoriale plurielle et solidaire permettant l’amélioration des conditions de vie des collectivités, mais aussi de façon exclusive, lorsque les citoyens et les collectivités locales sont soumis à des dynamiques qui les défavorisent. Les travaux des membres de cet axe se déclinent en 5 thèmes :

  • Les actions innovatrices de revitalisation des communautés
  • L’IS en milieux rural et forestier
  • L’action communautaire contre la pauvreté et l'exclusion
  • Les modalités innovatrices de gouvernance territoriale
  • Les nouvelles aspirations et la mouvance identitaire.

Dans l’ensemble, les projets rattachés à cet axe visent à dégager les nouvelles pratiques sociales, politiques, économiques et culturelles engendrées par les acteurs dans les collectivités locales ainsi que le rôle structurant des initiatives locales qui se confrontent aux effets déstructurants de la globalisation.

Innovations sociales et transformations dans les entreprises collectives

Regroupés autour de l’objet de l’entreprise collective et de ses relations avec la sphère de l’économie dominante, cet axe regroupe des projets qui analysent des innovations sociales qui se déploient autour des entreprises d’économie sociale, des sociétés d’État et des nouvelles formes hybrides d’entreprises. Les travaux de cet axe se déclinent en 5 thèmes :

  • Les modèles de gouvernance et de gestion des entreprises sociales et collectives
  • Le financement solidaire et l’accompagnement de l'entreprenariat collectif
  • L’évaluation de l'économie sociale
  • L’économie sociale et la transformation sociale
  • Les modèles hybrides : partenariats publics-privés-économie sociale.

Ces projets font l’hypothèse que les entreprises collectives jouent souvent un rôle d’aiguillon vis-à-vis de l’économie dominante, en tant que révélateur de ses limites (failles de marché, défaillances publiques, échecs philanthropiques) et précurseur de changement (nouvelles pratiques, nouveaux droits sociaux). Les innovations se traduisent dans des outils et des pratiques de gestion, de gouvernance, de mobilisation des ressources, etc., qui hybrident les logiques du marché, de la redistribution et de la réciprocité. Cet axe s’intéresse aux innovations dans les processus de gestion, notamment au rôle des objets et de la matérialité, aux modalités de financement et d’accompagnement de l’entrepreneuriat, notamment les réseaux interorganisationnels, et à l’analyse plurielle des organisations.

Innovations sociales et transformations dans le travail et l’emploi

Les membres de cet axe abordent l’IS en lien avec l’évolution des politiques d’emploi et les conditions de réalisation du travail. Ils analysent la qualité de l’emploi et du travail dans une perspective sociétale d’intégration socioprofessionnelle. Six thèmes de recherche sont privilégiés :

  • L’IS dans les relations industrielles et la gestion des ressources humaines
  • Les stratégies émergentes dans l’action syndicale
  • Les nouveaux statuts d'emploi et le précariat
  • Les problèmes et aspirations en matière de protections sociales
  • Les nouvelles stratégies d’insertion en emploi
  • La gestion des âges et des temps sociaux et la conciliation travail-famille.

Les chercheurs rattachés à cet axe cherchent à montrer que l’action collective et le dialogue social constituent des conditions pour la pérennisation des innovations sociales et pour la transformation des cadres institutionnels et organisationnels dans lesquels elles sont expérimentées. Au-delà des transformations des modes d’organisation, les préoccupations des chercheurs se tournent vers les réponses collectives face à la précarisation du travail et aux mutations contemporaines de la structure de l’emploi, l’action syndicale dans ses dimensions nationales et internationales, ainsi que vers les transformations des politiques publiques de l’emploi.

Innovations sociales et transformations dans les politiques et les pratiques sociales

L’axe Innovations sociales et transformations dans les politiques et les pratiques sociales regroupe des projets qui se structurent autour de la construction et l’application des politiques publiques et du rôle qu’y jouent les demandes sociales. Les travaux des membres de cet axe se déclinent en 5 thèmes :

  • L’IS à travers l’évolution historique des régulations sociales
  • Les nouvelles pratiques démocratiques et sociales
  • Le transfert des pratiques sociales et construction des politiques publiques
  • Les IS et la transformation sociale dans la santé et la communauté
  • L’IS dans le logement social.

Les activités scientifiques regroupées dans l’axe étudient les processus, les mécanismes et les leviers de l’innovation à travers l’analyse du transfert des pratiques sociales et politiques mises en œuvre dans la société civile (économie sociale, action communautaire). Ce travail de recherche et de réflexion inclut l’effet des « contre‐pouvoirs » démocratiques, ainsi que ceux des formes de pensée qui éclairent leur action. Il s’agit de s’interroger sur le rôle des mouvements sociaux en tant que lieux d’émergence de nouvelles pratiques démocratiques, de propositions de politiques sociales et publiques, de contestations des formes existantes de gouvernance et de remises en cause des limites normatives à la compétence citoyenne. Les chercheurs dégagent des formes d’action dont la logique profonde est en porte‐à‐faux par rapport aux pratiques des institutions dominantes, marchandes ou étatiques (par exemple la logique du care ou celle du don, la lutte pour la reconnaissance ou le développement de capacités).

Projets et financement

Financement

  • Fonds de recherche du Québec sur la société et la culture (FRQ-SC)

Publications et communications

Publications

Disciplines

  • Sociologie
  • Service social et travail social
  • Aménagement
  • Urbanisme
  • Science politique
  • Génie agricole et génie rural
  • Géographie humaine
  • Relations industrielles
  • Actuariat (sciences mathématiques)
  • Histoire
  • Philosophie
  • Informatique de gestion
  • Actuariat (gestion)
  • Anthropologie
  • Économie
  • Statistiques

Champ d’expertise

  • Innovation sociale
  • Défavorisation socioéconomique et accès aux services sociaux
  • Intégration socioprofessionnelle
  • Politique publique
  • Recherche collaborative

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