- Tous les membres du comité avait de l'expertise en recherche-création (danse, littérature, musique, etc.).
- Les membres du comité étaient conscients des difficultés et spécificités de la recherche création et en tenaient compte dans leur évaluation.
- La recherche s’exprime à travers la création de façon très variée. On constatait deux types de projets de création dans les demandes : celles qui aboutissait à une œuvre et celles qui visaient à créer un outil dans le domaine des technologiques pour réaliser un œuvre.
- Il y a une évolution temporelle dans les projets présentés. Ils sont de plus en plus solides et multidisciplinaires. Certains sont particulièrement originaux (par exemple, la multi création musicale en direct à différents endroits de la Terre avec des technologies très sophistiquées).
- Bien que les retombées soient le point le plus difficile à défendre, leurs pertinences sont grandement facilitées par un cadre théorique clair et solide. Les retombées sont similaires à des projets hors recherche-création (par exemple, avancée des connaissances, théoriques, pédagogiques). Les membres de comité recherche-création n’avaient pas noté de faiblesse particulière à ce niveau-là.
- Les raisons de refus les plus courantes étaient similaires aux projets hors recherche-création: articulation du projet et solidité de la méthodologie, pas assez de jeunes profs dans les équipes, peu d’implication des doctorants, manque de clarté ou de réalisme du calendrier ou du budget.
Merci à la doyenne Nathalie Fernando pour ces précieuses informations! Pour plus d'informations sur ces entrevues ou pour y participer, contacter Jane Gonçalves, conseillère à la recherche du secteur Sciences humaines et sociales du BRDV